lundi 20 août 2007

Escale bretonne entre Athènes et Santiago du Chili


Et oui, ce 2 juillet dernier, c'est le coeur gros et la tête bourrée de souvenirs que l'avion décollait de la terre grecque. Après neuf mois de vie ERASMUS là-bas, il fallait rentrer en territoire français, dur dur.

En trois heures d'avion, quelque 3 000 km après, nous avions perdu 25 degrés. Ah, quitter ce soleil et ce ciel bleu, ces quasi 40°, ça, ça a été difficile, surtout quant il s'est agit de retrouver la grisaille et 15 ridicules petits degrés.

Et puis, on aura beau dire, c'était la belle vie là-bas, soleil, amis, fun, la philoxénie grecque, la beauté du pays, le charme de ses rencontres fortuites, OUZO, la salade grecque, le frappé, le periptero, Acropolis, l'Aréopage, Monastiraki...

Flashback : neuf mois avant, soit le 22 septembre ou le 23, je ne me souviens plus, nous avions, Gaëlle et moi, quitté la France pour un saut vers l'inconnu. Une nouvelle vie, une langue inconnue, nous allions en apprendre beaucoup sur nous-mêmes et ça, je ne m'y étais pas attendue.

Après cette aventure incroyable, la question de la suite des études s'est posée et puis voilà pourquoi ne pas repartir. Il me faut faire un stage et comme dit ma grand-mère : "les voyages forment la jeunesse" donc pourquoi pas ?




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