Me voilà donc en possession de quelques pesos chiliens, il ne me reste plus qu'à en faire bon usage. J'ai quelques difficultés à me rendre compte du coût de la vie avec ce changement de monnaie. Le truc ici, c'est qu'il faut diviser le prix en pesos par 100 et on obtient une équivalence en francs! Et oui, je fais donc machine arrière mais c'est assez efficace.
Après une bonne nuit à l'hôtel où je ne vous cache pas qu'il n'a tout de même pas fait très chaud (pas de chauffage), je me dirige vers la station de métro Bellas Artes, en suivant les indications de Manuel pour me rendre à l'Institut chilien de français (désormais ICF), à Providencia, quartier chic constitué de bureaux et bureaucrates de la capitale. Pour le transport, petit topo, le métro est récent (et français), 3 lignes et pour voyager, il existe une carte BIP! (prononcez Vip, bien sûr) que tu recharges et que tu passes avant de prendre le métro ou quand tu montes dans le bus, super moderne einh? Malgré les indications, il a bien fallu que je me perde un tant soit peu, sinon ce ne serait pas drôle. Je retrouve tout de même ma route et fait un constat en passant : certains numéros de rues sautent. Ainsi, l'Institut se situe au 176 tandis que l'hôtel d'à côté est au 136, à ni rien comprendre. Tout ça pour dire que je m'attendais donc à ce que la rue soit bien plus longue qu'elle ne l'est en réalité.
Ma première entrée au sein de l'Institut en tant que "la" nouvelle assistante FLE de Santiago car, c'est officiel, je serai toute seule. Les autres ne viendront pas donc dommage, moi qui pensais trouver un soutien entre galériens : nada! Je retrouve Manuel : visite des locaux, petite présentation avec mes collègues du département de coopération linguistique et éducative (ça le fait, non ?). Puis, une entrevue plus sérieuse avec ma responsable, je découvre le manuel, ce qu'on attend de moi, comment se passe le programme etc. Je ne vais pas m'étaler en détails, je le fais déjà bien assez. Retour avec Manuel pour régler mon problème de logement, il a quelques adresses, il appelle pour avoir les premiers renseignements et ensuite, à moi de jouer pour voir la question des visites.
Achat important : un plan de la ville. Ici, je vous en fournis un petit mais bien loin d'être efficace, c'est juste pour que vous vous rendiez compte.
De retour à l'hôtel , je pose mon barda de livres (celui de l'étudiant, celui d'exercices et celui du prof, c'est-à-dire le mien pour celui qui n'aurait pas encore compris). Tentative pour appeler les différentes annonces mais là, le casse-tête commence : les téléphones publiques engloutissent mes pièces sans que je ne puisse appeler ou les récupérer. Je décide donc de prendre une carte de téléphone et là, encore le b.... puisque ça ne fonctionne pas dans certaines cabines. Quand j'arrive enfin à comprendre le truc avec les préfixes de régions, de portables ou de fixes, la ligne est soit occupée soit quand je parviens à joindre quelqu'un, la liaison est mauvaise et mon espagnol, loin d'être au top, ne facilite pas la tâche. Pour finir, je n'ai qu'un rdv dans la soirée, advienne que pourra.
Sieste et je m'en vais direction Huerfanos, pour visiter l'appartement de Miguel, je sonne, une fois, deux fois : nadie. Je rappelle donc en essayant de garder mon calme, là, ça répond, il est chez lui donc j'ai pas compris pourquoi il n'ouvrait pas! Rencontre, visite, ça me convenait, faut dire, je ne cherche pas le must, ce n'est que pour 3 mois mais le hic, c'est que je ne peux emménager qu'à partir du 4 septembre, soit quasiment une semaine à attendre! C'est sans grande conviction et avec l'espoir de trouver quelque chose le lendemain que je rentre à l'hôtel pour ma dernière nuit là-bas.
Après une bonne nuit à l'hôtel où je ne vous cache pas qu'il n'a tout de même pas fait très chaud (pas de chauffage), je me dirige vers la station de métro Bellas Artes, en suivant les indications de Manuel pour me rendre à l'Institut chilien de français (désormais ICF), à Providencia, quartier chic constitué de bureaux et bureaucrates de la capitale. Pour le transport, petit topo, le métro est récent (et français), 3 lignes et pour voyager, il existe une carte BIP! (prononcez Vip, bien sûr) que tu recharges et que tu passes avant de prendre le métro ou quand tu montes dans le bus, super moderne einh? Malgré les indications, il a bien fallu que je me perde un tant soit peu, sinon ce ne serait pas drôle. Je retrouve tout de même ma route et fait un constat en passant : certains numéros de rues sautent. Ainsi, l'Institut se situe au 176 tandis que l'hôtel d'à côté est au 136, à ni rien comprendre. Tout ça pour dire que je m'attendais donc à ce que la rue soit bien plus longue qu'elle ne l'est en réalité.
Ma première entrée au sein de l'Institut en tant que "la" nouvelle assistante FLE de Santiago car, c'est officiel, je serai toute seule. Les autres ne viendront pas donc dommage, moi qui pensais trouver un soutien entre galériens : nada! Je retrouve Manuel : visite des locaux, petite présentation avec mes collègues du département de coopération linguistique et éducative (ça le fait, non ?). Puis, une entrevue plus sérieuse avec ma responsable, je découvre le manuel, ce qu'on attend de moi, comment se passe le programme etc. Je ne vais pas m'étaler en détails, je le fais déjà bien assez. Retour avec Manuel pour régler mon problème de logement, il a quelques adresses, il appelle pour avoir les premiers renseignements et ensuite, à moi de jouer pour voir la question des visites.
Achat important : un plan de la ville. Ici, je vous en fournis un petit mais bien loin d'être efficace, c'est juste pour que vous vous rendiez compte.
De retour à l'hôtel , je pose mon barda de livres (celui de l'étudiant, celui d'exercices et celui du prof, c'est-à-dire le mien pour celui qui n'aurait pas encore compris). Tentative pour appeler les différentes annonces mais là, le casse-tête commence : les téléphones publiques engloutissent mes pièces sans que je ne puisse appeler ou les récupérer. Je décide donc de prendre une carte de téléphone et là, encore le b.... puisque ça ne fonctionne pas dans certaines cabines. Quand j'arrive enfin à comprendre le truc avec les préfixes de régions, de portables ou de fixes, la ligne est soit occupée soit quand je parviens à joindre quelqu'un, la liaison est mauvaise et mon espagnol, loin d'être au top, ne facilite pas la tâche. Pour finir, je n'ai qu'un rdv dans la soirée, advienne que pourra.
Sieste et je m'en vais direction Huerfanos, pour visiter l'appartement de Miguel, je sonne, une fois, deux fois : nadie. Je rappelle donc en essayant de garder mon calme, là, ça répond, il est chez lui donc j'ai pas compris pourquoi il n'ouvrait pas! Rencontre, visite, ça me convenait, faut dire, je ne cherche pas le must, ce n'est que pour 3 mois mais le hic, c'est que je ne peux emménager qu'à partir du 4 septembre, soit quasiment une semaine à attendre! C'est sans grande conviction et avec l'espoir de trouver quelque chose le lendemain que je rentre à l'hôtel pour ma dernière nuit là-bas.
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