Et oui, ça y est, ce projet fou qui a été mis sur pied en deux semaines prend réellement forme.
Après la révélation, il y a de ça un peu plus de deux semaines à l'annonce de ma sélection pour ce programme, me voici donc au Chili, à Santiago pour être assistante de français.
Il y a eu les quelques tracas administratifs, aller-retour sur Paris pour le visa, et le rassemblement des différentes formalités à effectuer et puis après il y a eu l'achat du billet, les banques, l'argent mais ça y est, me voici en Amérique du sud.
Les au revoir à la famille, aux amis et puis hop, on se reverra bien vite à Noël !
Les aéroports, les avions, le dodo et puis, au petit matin de ce dimanche 26 août, les premières images de la Cordillère des Andes, un régal avec le soleil qui se levait.
Après la révélation, il y a de ça un peu plus de deux semaines à l'annonce de ma sélection pour ce programme, me voici donc au Chili, à Santiago pour être assistante de français.
Il y a eu les quelques tracas administratifs, aller-retour sur Paris pour le visa, et le rassemblement des différentes formalités à effectuer et puis après il y a eu l'achat du billet, les banques, l'argent mais ça y est, me voici en Amérique du sud.
Les au revoir à la famille, aux amis et puis hop, on se reverra bien vite à Noël !
Les aéroports, les avions, le dodo et puis, au petit matin de ce dimanche 26 août, les premières images de la Cordillère des Andes, un régal avec le soleil qui se levait.
Arrivée à Santiago, je suis les informations données par Manuel, le responsable des assistants FLE ici et je prends la direction de l'hôtel réservé par l'Institut, hôtel 3*, grande classe.
Petit message pour dire à tous que je suis bien arrivée et 12h (heure locale donc +6h pour vous en France), première rencontre avec Manuel. En espagnol et en français, la conversation se passe, il me fait visiter les alentours, le quartier Bellas Artes, el parque forestal et le point de ralliement Plaza Italia. D'autres repères sont enclenchés: el cerro San Cristobal et el cerro Santa Lucia. Nous y monterons un peu plus tard.
Tout va bien , la vie semble agréable, il y a une course de vélos et même des pistes cyclables -en comparaison d'Athènes ou faire du vélo, c'était un peu risquer sa peau-, ici ça a l'air d'aller et la ville est loin d'être un dédale de rues sans plan établi. Le seul souci, c'est l'harmonie architecturale : inexistante. Les différents bâtiments des années 20, 30, 70, 80 se côtoient révélant les différents moments de l'histoire, le communisme, la dictature de Pinochet...
La balade se poursuit, Manuel m'apprend que pour l'instant, je suis la seule assistante arrivée (sur les 4 prévus) et qu'il n'a pas de nouvelles des autres donc bon, ce n'est pas évident pour lui de gérer ça. Il est donc ravi de me voir et que tout se soit bien passé.
Retour à l'hôtel, nous nous retrouverons plus tard pour prendre le thé chez lui et je pourrais ainsi rencontrer Virginie, sa femme, ancienne assistante FLE ici en 2005. Comme quoi, selon Manuel, tous les français qui viennent ici ont du mal à repartir car ils tombent amoureux...
Petit message pour dire à tous que je suis bien arrivée et 12h (heure locale donc +6h pour vous en France), première rencontre avec Manuel. En espagnol et en français, la conversation se passe, il me fait visiter les alentours, le quartier Bellas Artes, el parque forestal et le point de ralliement Plaza Italia. D'autres repères sont enclenchés: el cerro San Cristobal et el cerro Santa Lucia. Nous y monterons un peu plus tard.
Tout va bien , la vie semble agréable, il y a une course de vélos et même des pistes cyclables -en comparaison d'Athènes ou faire du vélo, c'était un peu risquer sa peau-, ici ça a l'air d'aller et la ville est loin d'être un dédale de rues sans plan établi. Le seul souci, c'est l'harmonie architecturale : inexistante. Les différents bâtiments des années 20, 30, 70, 80 se côtoient révélant les différents moments de l'histoire, le communisme, la dictature de Pinochet...
La balade se poursuit, Manuel m'apprend que pour l'instant, je suis la seule assistante arrivée (sur les 4 prévus) et qu'il n'a pas de nouvelles des autres donc bon, ce n'est pas évident pour lui de gérer ça. Il est donc ravi de me voir et que tout se soit bien passé.
Retour à l'hôtel, nous nous retrouverons plus tard pour prendre le thé chez lui et je pourrais ainsi rencontrer Virginie, sa femme, ancienne assistante FLE ici en 2005. Comme quoi, selon Manuel, tous les français qui viennent ici ont du mal à repartir car ils tombent amoureux...
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