Aïe Aïe aïe, ce matin, je dois quitter l'hôtel mais le truc, c'est que je ne sais pas où je dormirai ce soir! Là, c'est la galère. Je laisse donc mon gros sac Quechua (50L bourré au max) à la réception et je repasserai le prendre le soir vers 21h en espérant qu'à cette heure, je saurai où aller.
A l'ICF, je croise un français et on échange quelques mots, il me propose de m'héberger s'il y a un souci pour ce soir, c'est cool. Avec Manuel pour parler sérieusement de la partie administrative du stage, les listes d'élèves, les notes, les relations avec les universités etc. Je déjeune en sa compagnie ainsi qu'avec Geneviève dans un restaurant à proximité, le Vincent (en référence à Van Gogh, les tables sont des peintures du maître). Très sympa, très bon.
Dans l'après-midi, je dois résoudre deux problèmes : mon portable et mon logement.
1) le portable, alors que la veille, j'étais allée chez Entel pour acheter une simple carte CHIP (= SIM) et bien, problème car bien que mon portable eût été débloqué, il ne reçoit pas la couverture de réseau, ici, en Amérique latine, d'où, aujourd'hui, achat d'un pack avec le portable.
2) le logement, j'attends que le temps passe car je n'ai rendez-vous avec Maria Paz qu'à 19h30, tous mes espoirs sont là. En attendant, petite balade dans les rues commerçantes du centre ville, du lèche-vitrines mais sans plus. Rq: les Converse, ici, pas chères, je vais certainement craquer. Petit tour dans un centre internet, un coucou à Tof et me voilà repartie.
Le métro à cette heure-ci, une galère, c'est l'heure de pointe, j'ai dû laisser passer pas moins de 5 rames avant de pouvoir monter dans l'une d'elle, bondée. Je trouve facilement mon chemin, le bâtiment est tout neuf, l'appart se situe au second. Rencontre avec Maria, une coupe au carré, cheveux noirs, la frange droite, au-dessus des yeux, une coupe à la Amélie Poulain, poster qui décore un mur du salon. Dynamique, pétillante, elle me décrit comment elle vit, pas trop de fêtes, un petit copain, elle étudie la traduction donc parle très bien anglais, bien le français et le castillan de façon très compréhensible. Génial, je vais progresser!
Pour moi, tout est cool, je serai ravie d'emménager, je lui demande s'il est possible que je débarque dès ce soir, pas de problème donc je respire, merci Maria.
Aller-retour à l'hôtel et je pose enfin mon sac, je peux défaire mon super sac qui d'un "choup", se réduit et m'a permis de tout caser dans mon sac (merci Alis pour le tuyau). Je déballe, je discute et ne tarde pas trop à aller me coucher dans ce qui sera ma chambre pour les trois mois à venir. J'y accroche les photos de vous tous : amis d'ici (la Bretagne), de là-bas (Angers) ou compagnons d'ailleurs (Erasmus en Grèce), la petite famille et les paysages de l'an passé. Et oui, Acropolis, toujours je t'emporte avec moi désormais!
A l'ICF, je croise un français et on échange quelques mots, il me propose de m'héberger s'il y a un souci pour ce soir, c'est cool. Avec Manuel pour parler sérieusement de la partie administrative du stage, les listes d'élèves, les notes, les relations avec les universités etc. Je déjeune en sa compagnie ainsi qu'avec Geneviève dans un restaurant à proximité, le Vincent (en référence à Van Gogh, les tables sont des peintures du maître). Très sympa, très bon.
Dans l'après-midi, je dois résoudre deux problèmes : mon portable et mon logement.
1) le portable, alors que la veille, j'étais allée chez Entel pour acheter une simple carte CHIP (= SIM) et bien, problème car bien que mon portable eût été débloqué, il ne reçoit pas la couverture de réseau, ici, en Amérique latine, d'où, aujourd'hui, achat d'un pack avec le portable.
2) le logement, j'attends que le temps passe car je n'ai rendez-vous avec Maria Paz qu'à 19h30, tous mes espoirs sont là. En attendant, petite balade dans les rues commerçantes du centre ville, du lèche-vitrines mais sans plus. Rq: les Converse, ici, pas chères, je vais certainement craquer. Petit tour dans un centre internet, un coucou à Tof et me voilà repartie.
Le métro à cette heure-ci, une galère, c'est l'heure de pointe, j'ai dû laisser passer pas moins de 5 rames avant de pouvoir monter dans l'une d'elle, bondée. Je trouve facilement mon chemin, le bâtiment est tout neuf, l'appart se situe au second. Rencontre avec Maria, une coupe au carré, cheveux noirs, la frange droite, au-dessus des yeux, une coupe à la Amélie Poulain, poster qui décore un mur du salon. Dynamique, pétillante, elle me décrit comment elle vit, pas trop de fêtes, un petit copain, elle étudie la traduction donc parle très bien anglais, bien le français et le castillan de façon très compréhensible. Génial, je vais progresser!
Pour moi, tout est cool, je serai ravie d'emménager, je lui demande s'il est possible que je débarque dès ce soir, pas de problème donc je respire, merci Maria.
Aller-retour à l'hôtel et je pose enfin mon sac, je peux défaire mon super sac qui d'un "choup", se réduit et m'a permis de tout caser dans mon sac (merci Alis pour le tuyau). Je déballe, je discute et ne tarde pas trop à aller me coucher dans ce qui sera ma chambre pour les trois mois à venir. J'y accroche les photos de vous tous : amis d'ici (la Bretagne), de là-bas (Angers) ou compagnons d'ailleurs (Erasmus en Grèce), la petite famille et les paysages de l'an passé. Et oui, Acropolis, toujours je t'emporte avec moi désormais!
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